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Mes 3
glorieuses: 39' 45 au 10kms à TOULOUSE en 1992 1h 29' 50 au Semi à AUCH en 1992 3h 19' 20 au Marathon à ALBI en 1993 |
Je
suis en activité au SATUC depuis 1992 ( ICI
, mon cv actuel) et j'y
ai débuté en m'occupant d'un groupe de
BENJAMINS-MINIMES avec Cendrine CARRER et Steve GILBERT.
Déjà tout "pitchou" les déplacements pédestres ne m'ont pas effrayé.
Tout naturellement je me suis retrouvé à gambader dans les vignes du côté de MAQUENS en cadet aux Départementaux Audois.
Plus tard en juniors au milieu des supporters en délire à l'arrivée d'un cross, sur le mythique stade d' ESPERAZA.
Après que mes activités professionnelles m'aient appelé dans la capitale pendant quelques années, et à l'issue d' un long séjour dans le monde d'ovalie, je revins à mon sport d'origne à l'occasion des 20 kms de NAUROUZE aujourd'hui disparus.
Trés vite la distance mythique du marathon m'appela et naturellement le 1er Marathon Toulousain eu mes faveurs.
La montagne m' interpella aussi avec 2 participations à LUCHON-SUPERBAGNERES-LUCHON
Le marathon d' ALBI aura été pour moi une référence puisque c'est lui qui témoigne de ma meilleure perf' en 1993, mais il est vrai que ce jour LA j'avais un suiveur hors norme.
Sur le semi-marathon, ma préférence aura été celui de SEYSSES une course ultra plate et campagnarde.
Avant que les Trails ne fassent leur apparition, les courses natures étaient déjà bien présentes et les CRETES du PAYS BASQUE à Espelette ne m'ont pas laissé indiférent.
Une course que l'on peut faire en SOLO et ça fait mal, mais aussi en collectif comme en 1999 et ce fut pour moi une TRES BELLE JOURNEE.
Et maintenant je découvre avec étonnement et parfois avec une certaine perplexité cette nouvelle activité TERRIFIANTE.
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Déjà tout "pitchou" les déplacements pédestres ne m'ont pas effrayé.
Tout naturellement je me suis retrouvé à gambader dans les vignes du côté de MAQUENS en cadet aux Départementaux Audois.
Plus tard en juniors au milieu des supporters en délire à l'arrivée d'un cross, sur le mythique stade d' ESPERAZA.
Après que mes activités professionnelles m'aient appelé dans la capitale pendant quelques années, et à l'issue d' un long séjour dans le monde d'ovalie, je revins à mon sport d'origne à l'occasion des 20 kms de NAUROUZE aujourd'hui disparus.
Trés vite la distance mythique du marathon m'appela et naturellement le 1er Marathon Toulousain eu mes faveurs.
La montagne m' interpella aussi avec 2 participations à LUCHON-SUPERBAGNERES-LUCHON
Le marathon d' ALBI aura été pour moi une référence puisque c'est lui qui témoigne de ma meilleure perf' en 1993, mais il est vrai que ce jour LA j'avais un suiveur hors norme.
Sur le semi-marathon, ma préférence aura été celui de SEYSSES une course ultra plate et campagnarde.
Avant que les Trails ne fassent leur apparition, les courses natures étaient déjà bien présentes et les CRETES du PAYS BASQUE à Espelette ne m'ont pas laissé indiférent.
Une course que l'on peut faire en SOLO et ça fait mal, mais aussi en collectif comme en 1999 et ce fut pour moi une TRES BELLE JOURNEE.
Et maintenant je découvre avec étonnement et parfois avec une certaine perplexité cette nouvelle activité TERRIFIANTE.
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